Mexique
Le 18 avril, on arrive au Mexique. Bon, c'était pas vraiment prévu pour nous de passer par ce pays faute de temps. Or, souvenez-vous, on pensait s'impliquer dans une ONG au Nicaragua, mais les congés de Pâques nous avaient contraints à lever le camp plus tôt que prévu. Du coup, ça nous a fait prendre de l'avance sur notre planning et, au lieu de passer nos 2 dernières semaines (en Amérique Centrale) au Bélize uniquement, on s'est dit "coupons la poire en deux pour donner une petite part au Mexique". Bon, le pays étant assez énorme, on décide de se cantonner uniquement à la côte des Caraïbes.
On arrive alors au village de Tulum après une bonne journée de route et là, un constat s'impose : les Caraïbes ne nous veulent pas ! Petit rappel : après deux tentatives ratées (gâchées par la pluie) de profiter du soleil et des belles plages caraïbéennes (au Panama et au Costa Rica), on avait pensé que la malédiction avait pris fin en débarquant à Roatan en Honduras où enfin, le soleil avait battu les nuages à platte couture. Et là, on arrive sur la côte mexicaine sous un torrent de pluie, une fois de plus ! Extrêmement frustrant, d'autant plus qu'on est supposé être en pleine période sèche.
Bref, après avoir passé une nuit à Tulum, sous une pluie battante et dans un des hôtels les plus crados qu'on ait eu depuis le début de notre voyage (mégot de cigarette sous le lit, draps et taies d'oreiller remplis de tâches), notre moral est un peu raplapla, d'autant plus que le village n'a pas beaucoup d'intérêt sans la plage.
On décide alors de remonter jusqu'à Cancun, pas très loin, où là au moins, si la pluie nous empêche d'aller à la plage, on aura de quoi s'occuper dans la ville. En effet, la ville a été développée pour désengorger la plage d'Acapulco qui devenait trop étroite pour la quantité faramineuse d'américains qui débarquaient plus nombreux chaque année. Elle est donc en mesure d'accueillir et surtout de divertir l'américain en vacances ;)
L'avantage aussi, c'est qu'on est hors période de vacances des étudiants américains et canadiens (alias le Spring Break). La ville est donc assez calme, on y loge au centre (et non dans la vaste zone hôtelière), et l'ambiance locale est assez sympa, contre toute attente.
Et puis, finalement, le vent souffle de toute ses forces pour repousser les nuages et après quelques jours, le soleil revient enfin !
Mais bon, trêve de blabla, la suite en images...
On arrive alors au village de Tulum après une bonne journée de route et là, un constat s'impose : les Caraïbes ne nous veulent pas ! Petit rappel : après deux tentatives ratées (gâchées par la pluie) de profiter du soleil et des belles plages caraïbéennes (au Panama et au Costa Rica), on avait pensé que la malédiction avait pris fin en débarquant à Roatan en Honduras où enfin, le soleil avait battu les nuages à platte couture. Et là, on arrive sur la côte mexicaine sous un torrent de pluie, une fois de plus ! Extrêmement frustrant, d'autant plus qu'on est supposé être en pleine période sèche.
Bref, après avoir passé une nuit à Tulum, sous une pluie battante et dans un des hôtels les plus crados qu'on ait eu depuis le début de notre voyage (mégot de cigarette sous le lit, draps et taies d'oreiller remplis de tâches), notre moral est un peu raplapla, d'autant plus que le village n'a pas beaucoup d'intérêt sans la plage.
On décide alors de remonter jusqu'à Cancun, pas très loin, où là au moins, si la pluie nous empêche d'aller à la plage, on aura de quoi s'occuper dans la ville. En effet, la ville a été développée pour désengorger la plage d'Acapulco qui devenait trop étroite pour la quantité faramineuse d'américains qui débarquaient plus nombreux chaque année. Elle est donc en mesure d'accueillir et surtout de divertir l'américain en vacances ;)
L'avantage aussi, c'est qu'on est hors période de vacances des étudiants américains et canadiens (alias le Spring Break). La ville est donc assez calme, on y loge au centre (et non dans la vaste zone hôtelière), et l'ambiance locale est assez sympa, contre toute attente.
Et puis, finalement, le vent souffle de toute ses forces pour repousser les nuages et après quelques jours, le soleil revient enfin !
Mais bon, trêve de blabla, la suite en images...
Quand le soleil revient, on file vers la plage pour voir de quoi elle a l'air, et on prend un bâteau vers la Isla de las Mujeres, où on fait un peu de snorkeling.
Playa del Carmen et Tulum
Avec le retour du beau temps, on décide de descendre un peu la côte pour rejoindre Playa del Carmen. L'endroit est plus petit que Cancun, mais aussi beaucoup plus concentré en touristes. Les marchands de la Quinta (la rue principale) se sont d'ailleurs adaptés. Leurs phrases préférées : "Pasen adelante ! Muy buen precio para ti amigo, muy barato ! " (En gros ça veut dire "entrez, entrez, pour toi mon ami je te fais un bon prix, c'est très bon marché!"). Et on s'est aussi adapté en dégainant à tout va notre phrase favorite depuis le début du voyage, le classique "No gracias". Les deux petits mots qu'on n'aura jamais autant dit de notre vie !
De Playa, on part une journée visiter les ruines mayas de Tulum. Ce qui rend ces ruines exceptionnelles, ce n'est pas vraiment leur architecture, mais plutôt leur situation, le long de la mer, et quelle mer !
Ile de Cozumel
Au large de Playa del Carmen se trouve une île entourée d'eaux transparentes remplies de jolis poissons, sur laquelle on décide de passer quelques jours.
Pour l'anecdote, on avait envisagé d'acheter une pochette imperméable pour notre appareil photo, afin de ramener quelques souvenirs aquatiques de l'endroit. Après avoir hésité pendant trèèèèèès longtemps (vous vous en doutez), on l'achète, on teste soigneusement la qualité de son étanchéité à l'aide de papier toilette (c'est quand même notre appareil numérique qu'on va mettre dedans, autant pas le couler au premier essai), on la manipule avec grande précaution pour y placer l'appareil et, après les premiers essais, voici le magnifique résultat :
Pour l'anecdote, on avait envisagé d'acheter une pochette imperméable pour notre appareil photo, afin de ramener quelques souvenirs aquatiques de l'endroit. Après avoir hésité pendant trèèèèèès longtemps (vous vous en doutez), on l'achète, on teste soigneusement la qualité de son étanchéité à l'aide de papier toilette (c'est quand même notre appareil numérique qu'on va mettre dedans, autant pas le couler au premier essai), on la manipule avec grande précaution pour y placer l'appareil et, après les premiers essais, voici le magnifique résultat :
Bref, pas top la pochette ! Mais on n'abandonne pas et après quelques tunings-maisons de ce produit haute-technologie, on parvient à en sortir quelque chose de mieux. Munis d'un super scooter et armés de nos casques colorés, on part pour un deuxième spot de snorkeling sur l'île histoire de tester la bête...